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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 23:02

 

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13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 10:34
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dégats
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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 12:35

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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 12:30
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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 20:48
20 minutes

Est-ce un remède contre le stress avant le décollage? Dimanche, à l’aéroport londonien d’Heathrow, un pilote d’United Airlines a été arrêté en état d’ébriété dans la cabine de son appareil. Quelques minutes seulement avant l’envol... A bord du Boeing 777, plusieurs centaines de personnes en partance pour San Francisco ont assisté à un étrange ballet.

«Je n’arrivais pas à en croire mes yeux. Le pilote n’arrivait pas à marcher droit jusqu’à l’appareil», a confié un passager stupéfait au «Sun». La police a été prévenue par le personnel au sol de la compagnie. Le commandant de bord âgé de 44 ans a été mis en liberté sous caution et devra se présenter au poste de police d’Heathrow en janvier. Il a été suspendu par United Airlines.

Le troisième cas en un an

Un porte-parole de la compagnie a précisé: «Notre politique sur ce sujet est parmi les plus strictes de notre secteur, nous ne tolérons aucune violation de cette règle bien établie. La sécurité est notre priorité numéro 1.»

Rappelons que, pour un pilote, la limite légale est de 9 milligrammes pour 100 millilitres d’air expiré. Quatre fois plus que la limite légale pour un conducteur britannique. Le téméraire commandant, qui n'est pas sensé boire la moindre goutte d’alcool huit heures avant les vols (minimum), risque jusqu’à deux ans de prison ferme. C’est le troisième pilote imbibé stoppé à Heathrow juste avant le décollage en un an.

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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 19:00

EADS ainsi que la police nationale ont démenti jeudi l'existence au sein du groupe européen d'aéronautique et de défense d'un système de rétrocommissions à l'export, comme l'affirme  L'Express publié jeudi. Selon l'hebdomadaire, "les services secrets français, dont la DST ont informé, voilà plusieurs mois, l'Elysée de l'existence au sein de l'entreprise d'un vaste système de rétrocommissions, mis en place par l'un des cadres dirigeants du groupe". L'hebdomadaire ajoute que "des sommes importantes ont transité à l'étranger, via un compte tunisien, lors de la vente de 40 A380 à la compagnie Emirates et de 32 appareils Airbus à la Libye", en parlant d'un montant de 90 millions de dollars.

Dans un communiqué, la direction générale de la police nationale a "démenti catégoriquement les informations contenues dans l'article de l'Express du 22 mars intitulé 'Qui veut la peau d'Arnaud Lagardère?' selon lesquelles la DST aurait eu connaissance de l'existence d'un système de rétrocommissions au sein d'EADS". "Ce service n'a jamais recueilli d'informations de cette nature susceptibles de mettre en cause cette entreprise ou l'un de ses dirigeants", a ajouté la DGPN. "EADS considère que les accusations contenues dans cet article peuvent porter gravement atteinte à son image et réserve tous ses droits à cet égard", avertit un communiqué du groupe.

 

"Propos mensongers"

Dénonçant des "propos mensongers" de l'Express, Lagardère a estimé que "ces allégations prennent part à une tentative de déstabilisation d'EADS et du groupe Lagardère en tant qu'actionnaire de référence d'EADS, alors même qu'il maintient fermement auprès de cette entreprise son engagement et son rôle, dans la période difficile que traverse Airbus".

 

Parallèlement, le site en ligne de Capital affirme que Louis Gallois "vient d'être convoqué à l'Elysée par Maurice Gourdault-Montagne, le conseiller diplomatique de Jacques Chirac". "Objet de l'entrevue: une note confidentielle de la DST évoquant une caisse noire qui aurait servi, depuis plusieurs années, à verser des commissions en marge de grands contrats à l'exportation", ajoute le magazine. "La présidence de la République dément catégoriquement l'information.

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30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 21:55

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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 23:40
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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 22:01
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9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 22:52
La Dépêche

I
l était entre 8 h 12 et 8 h 17 hier matin. Toulouse se réveillait sans bus quand un bang inquiétant a traversé la ville. Aussitôt, le temps s'est figé et l'inquiétude a gagné de nombreux visages. Pourquoi ce bang ? Certains ont cru à une opération anti-étourneaux, ces oiseaux envahisseurs. La majorité a envisagé une nouvelle catastrophe comme en septembre 2001, ce qui montre d'ailleurs que le temps n'a rien effacé des traumatismes nés de l'explosion de l'usine AZF…

Les plus inquiets ont interrogé les numéros d'urgence qui ont soudainement beaucoup sonné… Les opérateurs des pompiers, très sollicités, les policiers et les gendarmes à moindre mesure, ont pu rapidement rassurer leurs interlocuteurs. Le bang n'était pas lié à un accident industriel ou autres catastrophes.

Un vol commercial à vérifier

Renseignement pris, l'explication vient du ciel. « Un Rafale de la base de Mont-de-Marsan a passé le mur du son dans le cadre d'une mission de police de l'air », explique le capitaine Olivier Guirbal, officier du SIRPA Air (Service d'Information et de Relation Publique de l'Armée de l'air). Communicant mais prudent, l'officier évite certains détails, secret défense oblige. Parti de la base de Mont-de-Marsan, dans les Landes, où deux pilotes sont aux commandes de leur jet, prêts à intervenir 24 heures sur 24 en cas de besoin, le Rafale et son pilote ont rejoint « en visu » un avion de ligne. Ce vol commercial se dirigeait vers l'Espagne et il ne donnait plus de nouvelle aux tours de contrôle. Il était donc urgent de savoir s'il souffrait d'une panne technique ou d'autre chose… « Dans le cadre des missions de police de l'air, le passage du mur du son est possible, précise l'officier du SIRPA. Ce matin (hier), l'avion est passé en vol supersonique entre Céran dans le Gers et Mézerville dans l'Aude à une altitude de 13 000 mètres, donc au-dessus du plancher prévu. En l'occurrence, même si ce genre de mission n'a rien d'exceptionnelle, il fallait aller vite ».

Les pilotes de l'armée ont pu vérifier en direct que l'avion commercial était bien confronté à un problème technique qui expliquait son silence. Le retour à la base s'est donc fait plus tranquillement. Sans troubler les Toulousains.

Un mur du son très codifié

Les bangs des avions supersoniques constituaient des événements classiques dans les années 70-80. Depuis, pour éviter de faire sursauter trop souvent les habitants notamment des grandes agglomérations, des règles ont été peu à peu imposées aux pilotes de chasse. « Le passage en vitesse supersonique doit s'effectuer au-dessus de 12 000 mètres d'altitude et loin des zones d'habitation, explique le SIRPA Air. La vitesse supersonique n'est pas interdite puisque les pilotes doivent s'entraîner et aussi, comme hier, réagir vite lors de missions précises ». D'autre part, les conditions météo favorisent ou donnent de l'ampleur à la propagation des ondes, et donc du bruit du bang. En principe, avec les nuages ce qui n'était pas le cas hier sur Toulouse, c'est plus violent.



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